Les Franjynes
04 89 05 09 01
20 RUE VERNIER, 06000, NICE
Langues parlées : Français, Anglais
Services proposés :
- Accès PMR
- Accès Wifi
Des prothèses capillaires partielles inventées et créer pour les femmes, femmes, les petites filles et les hommes touchées par l’alopécie à cause de traitements de chimiothérapie, d’une pelade universelle ou d’un accident de la vie.
Julie MEUNIER, fondatrice, ex-juriste, 33 ans. J’ai eu l’idée de créer les Franjynes à 27 ans, au moment où je suis atteinte d'un cancer du sein de grade III. Je démarre alors 18 mois de traitement (24 chimio, 2 opérations et 40 séances de radiothérapie), et 5 ans d’hormonothérapie. Je suis en rémission depuis le 5 Juillet 2016 En Mai 2015, je décide de partager ce que je vis et je créer un blog afin de montrer que malgré les traitements et la maladie, on peut rester maître de son image et s’approprier une identité qui nous convient durant cette parenthèse désenchanté . Cependant je ne suis pas parvenue à porter de perruque et j’ai commencé à nouer des turbans que j'accessoirisais de fausses franges que je m’ était créé au départ pour mon propre confort. Avec succès, car personne ne se doutait que j’étais chauve en réalité. En faisant mes nouages, je retrouvais la sensation thérapeutique de me coiffer. J’ai alors eu l’idée de créer LES FRANJYNES afin de rendre ma solution, chic confortable et accessible au plus grand nombre sans distinction de classe sociale. Présentation des projets et objectifs Les Franjynes propose donc une alternative innovante à la perruque pour les femmes, les petites filles et les hommes atteints d’une alopécie (perte totale des cheveux) due à des traitements anti- cancéreux (plus de 390 000 nouveaux cas de cancers en France chaque année, dont 186.000 sont des femmes et 10.000 sont des enfants), mais aussi une pelade universelle ou un accident de la vie (grand brulé). Il n’existe pas encore sur le marché de produits esthétiques proposant une réelle alternative à la perruque (qui tient chaud, gratte et coûte cher), qui soit à la fois accessible en termes de coûts et prise en charge par la Sécurité Sociale, qui apporte également de l’esthétisme et du confort. Le nom des FRANJYNES vient du fait que le port du turban (quand on n’a plus de cheveux) ne peut pas se faire sans une Frange. Ce sont des frangins... enfin des Franjynes. C’est aussi et surtout une référence à une communauté de « soeurs de combats » qui permet un réel soutien tout au long de la maladie aux travers de nos réseaux sociaux très suivis. L’entreprise Les Franjynes produit de fausses franges en cheveux synthétiques haut de gamme disposant de nouvelles fibres haut de gamme que l’on peut chauffer jusqu’a 190 degrés. Elles s’accompagnent de turbans à nouer autour du crâne et/ou de bonnets avec un effet de turban noué en tissu cousus en fourreau (sans coutures) thermorégulant, antiseptique et anti-uv . Le produit est commercialisé depuis Juin -2017 sur un site e-commerce dédié www.lesfranjynes.com ainsi que dans notre showroom à Nice et dans plus de 220 boutiques revendeuses de notre marque, en France, Europe, DOM TOM et Canada. Les Franjynes sont les seuls produits sur le marché de la prothèse capillaire à proposer des fausses franges qui tiennent confortablement sur des têtes chauves. En effet, les franges existantes sur le marché disposent de clips afin d’être accrochées sur des cheveux. Le système de maintien des Franjynes est déposé. Le produit est également déclinable pour les enfants. Les Franjynes a été reconnue par la Sécurité Sociale comme prothèse capillaire partielle avec accessoire textile et est intégralement remboursé (une parure Franges + turban Les Franjynes coûte entre 85€ et 125€ avec un forfait annuel de remboursement sécurité sociale de 125€). Les Franjynes a été fondé sur des valeurs de solidarité et de réinsertion sociale pour les personnes fragilisées mais aussi sur des valeur environnementale en s’inscrivant dans la « slowfashion »mode éthique et responsable. " Les bonnets sont fabriqués en France dans des ateliers de confection qui emploie des personnes avec des maladies physiques, mentale ou sociale et qui sont en réinsertion professionnelle. " Le modélisme et prototypes ainsi qu’un partie de la production sont réalisés en collaboration avec un atelier de confection Niçois. " Des collaborations sont en cours d’élaboration avec plusieurs grandes marques et designers français en vue de faire de l’upcycling ou en récupérant des stocks de tissus dormants. " Nos tissus proviennent de fins de rouleaux de grandes maisons afin de ne jamais faire de surproduction inutiles. " Les invendus sont transformés et remis en vente dans les nouvelles collections. " Enfin, 2,5% des bénéfices de l’entreprise sont reversés à la recherche contre le cancer a Unicancer (car c’est un essai clinique qui m’ a permis de guérir et que c'est aussi grâce aux dons de 1000 contributeurs que l’entreprise a été créée en l’absence de soutien des banques). L’objectif est que les utilisateurs des Franjynes n’aient pas l’impression d’acheter une prothèse capillaire parce qu’elles sont malades, mais plutôt l’impression d’acheter avant tout un accessoire de mode chic et confortable, avec l’idée que la maitrise de son image est essentielle pour garder le moral afin d’affronter les traitements qui eux sont essentiels à la guérison.